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Aux confins de la folie
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Catégorie : Correspondances

Aux confins de la folie
VIP-Blog de enchanteresse666
  • 15 articles publiés dans cette catégorie
  • Modifié : 30/09/2011 20:40

    Délices de Satine
    Passion des Poemes

    Correspondance interdite (15ème lettre)

    15/07/2011 11:37



    Ma tendre amie,

     

    Mon amie Céleste est la meilleure d’entre nous concernant l’éducation et les obligations requises pour faire de vous une femelle digne de ce nom. Après vous avoir laissée enchaînée aux pieds des marches du perron, je restais à vous observer hors de votre vue. Quelle ne fut pas ma satisfaction de vous voir céder à vos envies. Vos doigts dansaient sur votre intimité et bien que qu’un passant puisse vous voir, vous n ‘aviez, à ce moment-là, plus aucune pudeur. Céleste avait raison, vous étiez de loin ma meilleure élève et vous seriez sans nul doute ma plus belle réussite. Je vous laissais passer la nuit dehors, vos reins possédés et offerts à la vue de qui le souhaitait.

     

    Je vous trouvais profondément endormie à mon réveil. Prenant garde de ne pas vous éveiller, je libérais vos reins de leur entrave. J’en prenais possession rapidement, sans ménagement et c’est ainsi que vous ouvriez les yeux. Vous avez bien tenté de vous débattre sur le moment mais rapidement, j’usais de vous sans résistance. Vos hanches dansaient en parfaite harmonie avec le rythme que je vous imposais. J’en profitais pour commenter votre position et votre excitation matinale, vous faisant rougir de honte. Je ne pouvais qu’apprécier ce début de journée qui se présentait sous les meilleurs auspices possibles. Une fois rassasié, je vous administrais une fessée magistrale pour avoir oser aimer ce qui vous était imposé. Votre croupe ne tarda pas à prendre la même couleur que vos joues. Ce n’est qu’ensuite que vous fûtes autorisée à pénétrer dans ma demeure. Vous me serviez ma collation matinale avant de pouvoir vous restaurer. Peu m’importait que vous ayez faim, vous devriez apprendre à satisfaire vos besoins les plus élémentaires quand je vous y autoriserai.

     

    Je passais la majeure partie de la matinée à mon bureau, réglant mes affaires les plus urgentes. Vous vous teniez à mes côtés, à genoux. Ainsi, je profitais de votre poitrine de temps à autre, frappant ou pinçant vos seins selon les moments. Je vous revois encore vous écarter pour vous soustraire à ce traitement.  Quelle hérésie ! Sans un mot, je vous entraînais de force à ma suite pour vous attacher une nouvelle fois au poteau du salon. Mes mains prirent de nouveau possession de vos seins, les maltraitant au point de vous arracher des larmes de souffrance. Vous m’imploriez de cesser, allant jusqu’à quémander mon pardon. Je vous laissais ainsi le temps de m’acquitter de mon travail. Après vous avoir détaché, je vous ordonnais de préparer un repas froid pour aller déjeuner au bord de l’eau. Sans doute pensiez-vous que rien ne pouvait vous arriver à l’extérieur de ces murs… Votre sourire en disait long. Une fois les préparatifs achevés, nous montions en voiture pour une destination qui vous était inconnue.

     

    L’endroit se trouvait à l’écart de toute vie, à une heure de route de ma demeure. Je vous accordais du répit le temps du trajet. Arrivés sur place, vous découvriez un lac, entouré d’arbres et d’une herbe particulièrement verte. Sur mes ordres, vous installiez le repas sur une couverture posée au sol. Quelques douceurs de votre crû que je comptais bien déguster dans les meilleures conditions possibles. A l’abri du soleil, une chaude journée d’été s’annonçait. Contrairement à vous, je savais que nul ne viendrait nous déranger en ces lieux puisqu’il s’agissait de l’une de mes nombreuses propriétés. Je ne pouvais que me réjouir de votre gaieté affichée. Pour l’occasion, je vous avais fourni une tenue que j’apprécie particulièrement : une guêpière retenant vos bas et s’arrêtant juste au-dessous de votre poitrine, des bottines en cuir noir, pas de culotte et une simple robe facile à ôter. Autour de votre cou et de vos poignets, j’avais posé un collier et des menottes en cuir rouge fermés par de petits cadenas. Vous n’aviez d’ailleurs opposé aucune résistance au moment de la pose de ceux-ci.

     

    Je restais à vous observer de longues minutes en silence avant de vous intimer l’ordre d’enlever votre robe. Vous restiez sans réaction, terrorisée à l’idée de vous dévêtir en extérieur. Je prenais donc le temps de vous expliquer que nous étions chez moi et que personne ne viendrait troubler notre journée. J’ignore si ces mots vous ont rassurée sur le moment mais le fait était que votre robe ne tarda pas à glisser au sol. Et comme à votre habitude, ce sont vos reins qui furent offerts en premier à ma vue. Vous portiez encore la marque de votre correction matinale. Le repas se déroulait dans une ambiance sereine. Si, au départ, vous aviez tout fait pour cacher votre corps à ma vue, vous ne sembliez plus vous en souciez au moment du dessert. J’avais, pour l’occasion, commandé des fraises que nous dégustâmes accompagnées de champagne. Plus de gêne, ni de crainte, dans votre regard, juste de la tranquillité. C’est le moment que je choisis pour me délecter de ma gourmandise favorite.

     

    Dénudant mon sexe, je vous invitais à vous en saisir pour me contenter. Vos yeux s’écarquillèrent de surprise un court instant avant que vous ne vous penchiez pour saisir ma hampe entre vos lèvres. Nous y étions enfin. Votre docilité, celle que je pressentais depuis notre première rencontre, se dévoilait. Vos cuisses s’ouvraient peu à peu, au rythme lent que vous aviez adopté pour cette caresse buccale. Adossé à un arbre, il me fut aisé de vous positionner perpendiculairement à moi. Ainsi, je disposais d’un accès à votre croupe mais plus important encore, à votre intimité et à vos seins. Vos gémissements confirmaient vote état. Tout en profitant pleinement de votre bouche, mes doigts s’activaient entre vos cuisses qui ne tardèrent pas à être humides de désir. Attrapant vos cheveux, je vous contraignais à redresser la tête avant de vous allonger sur le dos, offerte à ma vue. En bonne femelle, vos yeux m’imploraient de me servir de vous, de vous posséder corps et âme. Comme il fut plaisant de vous faire languir. Je me positionnais entre vos jambes, vous toisant de toute ma hauteur, avant de m’allonger sur vous. Lentement, sans me presser, je vous déflorais, me délectant de vos cris de douleur, vous souillant de façon irrémédiable. Une fois ma semence déversée sur votre ventre, je vous préparais pour la suite : poignets attachés à l’anneau de votre collier et une barre vous empêchant de refermer vos jambes. Je vous laissais ainsi, le temps pour moi de m’accorder un moment de détente en me baignant dans le lac.

     

    D.


    Correspondance interdite (14ème lettre)

    04/07/2011 09:43



    Mon cher,

     

    J’aurais voulu fuir mais la force me manquait, le courage aussi. Je venais donc à vous à votre demande avant de m’allonger sur cette table. Attachée, il m’était impossible de faire le moindre mouvement. Je tremblais dans l’ignorance de ce que vous alliez me faire subir. Je m’entendis vous demander de m’épargner, de ne plus me faire subir de tourments. Vous n’en aviez cure. Je sentis une pince se refermer sur l’une de mes lèvres intimes mais avant que je puisse me demander ce qui m’attendait, une douleur me crucifia, m’arrachant un hurlement. Vous veniez d’enfoncer une aiguille dans ma chair. Opération renouvelée rapidement sur l’autre lèvre. Au bord de l’inconscience, je ne commençais à réagir que lorsque vous refermiez les anneaux tout en m’expliquant qu’il était impossible des les ôter.

     

    Que cette première nuit enchaînée au pied de votre lit fut terrible ! Encore plus que vos caresses imposées lors de votre réveil. L’annonce de la soirée me fit espérer qu’une âme charitable me prendrait en pitié et me sortirait de cet enfer dans lequel vous m’aviez entraînée. Si j’avais su… Je consacrais donc ma journée aux travaux nécessaires, subissant vos assauts sans rien dire. Je tentais bien de vous faire fléchir concernant la tenue que je devais porter et j’eu l’occasion de m’en mordre les doigts rapidement. Votre badine chauffa ma croupe avec vigueur, achevant de me contraindre à l’obéissance. Je sentais pendre, entre mes cuisses, cette chaînette qui rendait mon intimité close et soumise à votre bon vouloir. J’accueillais donc vos invités selon vos envies mais nul pour me libérer de vos chaînes. J’appréciais le temps du service, court répit à vos tourments. Ma croupe et mes seins faisaient l’objet de nombreux commentaires et bien que je m’efforçais de ne pas y prêter garde, mon intimité me trahissait de nouveau.

     

    Je me tenais au centre de ce cercle, mes corvées achevées. Votre regard pétillait d’une lueur que je ne vous connaissais pas encore. Je ne bougeais, ne prononçais aucun mot, lorsque vous ôtiez mes vêtements. Sans tarder, je fus mise au supplice. Ces mains sur mon corps, m’examinant, me fouillant pour certaines, me révoltaient et me procuraient du plaisir dans le même temps. Mais c’est elle qui me mit à la torture. Elle sur qui j’avais cru pouvoir compter et dont les caresses me révélaient femelle. Elle qui vous faisait remarqué que mes reins étaient encore trop étroits et qu’il fallait remédier à cela. Acte que vous l’invitiez à exécuter selon son bon vouloir. Je comprenais que vous veniez de m’offrir de nouveau mais à une femme cette fois. J’implorais notre Seigneur de m’accorder sa clémence et de venir au secours de sa servante. En retour, ma présence à vos côtés était officialisée. Je continuais mon service en tenue d’Eve, ne pouvait échapper aux mains inquisitrices qui possédaient mon corps, les vôtres, les leurs.

     

    Assise à même le sol, dans sa voiture, vous m’aviez imposée de la suivre. Son regard, distant et cruel, me terrifiait. Tout comme la badine qu’elle tenait et qui venait caresser mes côtes avec force de temps à autre. Je tentais à plusieurs reprises de la faire fléchir, implorant son aide. Mais comment une femme aussi cruelle que celle-ci aurait pu me comprendre ? Dans sa demeure, elle me conduisit dans une pièce que je pris pour un lieu d’apprentissage de la danse au premier regard. Des miroirs partout et une barre en son centre. Je fus jeté en travers, les poignets et les chevilles attachées aux extrémités, la barre contre mon ventre. Mes reins libérés de leur possession, je respirais de nouveau. Je n’allais pas tarder à regretter cette liberté retrouvée. D’une voix dénuée de toute émotion, elle m’expliqua que ma présence en ces lieux n’avait que pour seul et unique but de me rendre plus accueillante. Sur le moment, je ne comprenais pas. Il ne me semblait pas m’être mal comportée durant la soirée qui venait de s’écouler. Mais avant même qu’un mot ne puisse sortir de mes lèvres, ses doigts vinrent se poser sur ma rosette. Je hurlais de terreur. Que vous usiez de moi, je pouvais le concevoir mais elle… Mon esprit se révoltait contre ses caresses contre nature. Fouillée, humiliée, je ne tardais cependant pas à gémir, honteuse de sentir mon corps s’éveiller contre mon gré. Jusqu’à l’introduction d’un nouvel instrument dans mon fondement. Elle m’expliqua qu’il suffisait d’en tourner la clef pour agrandir ou réduire sa base. Me laissant seule dans cette position inconfortable, elle ne revenait que pour écarter encore plus mes chairs. Mes entrailles me brûlaient tant la douleur infligée était atroce. Je fus renvoyée ainsi vers vous. Je pouvais à peine marcher. Ce qui ne vous dérangea guère puisqu’une nouvelle fois, vous usiez de moi sur les marches du perron avant de m’y entraver pour le reste de la nuit. Recroquevillée, transie de froid, mon corps grondait d’une envie sourde. Faisant fi de la bienséance, mes doigts prirent place sur mon intimité et c’est presque rageusement que je m’offris cette jouissance qui m’était refusée.

     

    Votre.



    Correspondance interdite (13ème lettre)

    04/07/2011 09:42



    Ma tendre amie,

     

    Vous commenciez seulement à comprendre qu’il n’existait aucune échappatoire à l’emprise que je possédais sur vous. Vous alliez découvrir un monde encore inconnu à vos yeux, fait de mille et un tourments, de renoncement de soi mais aussi de plaisirs charnels intenses. Votre séjour en ma demeure m’assurerait de vote totale dévotion à mon encontre. Du moins ferait en sorte que je puisse vous y amener au fur et à mesure que le temps passerait. Vous passiez votre seconde journée à me servir comme domestique. Je ne me privais pas cependant d’user de vos reins à plusieurs reprises qui, de ce fait, se trouvèrent parfaitement accueillant le soir venu. Le temps était venu de vous imposer mon emprise à chaque instant de votre vie.

     

    Je vous sonnais une fois la nuit venue. Sans un mot, je vous allongeais d’autorité sur la table de réception avant de vous entraver en croix sur le plateau. Pour m’assurer que vous ne pourriez pas bouger, une ceinture passée à votre taille me permit de vous immobiliser totalement. Dans l’ignorance de ce qui allait se produire, je vous entendis me supplier de ne plus vous offenser. Pour toute réponse, je relevais le devant de votre jupe, dévoilant votre intimité parfaitement lisse. Je déposais une boîte auprès de vos hanches avant de l’ouvrir. A l’intérieur, un matériel pour vous percer la peau que vous ne pouviez voir. Je commençais par votre lèvre droite, la saisissant à l’aide d’une pince avant de la transpercer à l’aide d’une grosse aiguille. Votre hurlement de douleur me combla. Votre lèvre gauche subit le même traitement. Je vous laissais ainsi un long moment, les aiguilles en place, avant de les remplacer par des anneaux qui, une fois fermés, ne pouvaient s’enlever qu’en les coupant. Votre vulve était désormais parée comme se devait l’être celle de la femelle que vous étiez. Vos larmes étaient une offrande à cette liberté dont je venais de vous priver. Détachée, je vous menais à ma suite dans ma chambre en laisse. Une chaîne reliée au pied de mon lit me permit de vous y attacher pour la nuit. Votre place était à mes pieds, à même le sol. Il vous faudrait vous y habituer.

     

    Je me levais de bonne humeur, vous réveillant en possédant votre bouche aux contours si fins. Les lèvres ourlées de perles blanchâtres, je vous intimais l’ordre de me préparer ma collation matinale. Sans doute ravie d’échapper quelque temps à votre sort, vous vous hâtiez à l’exécution de votre tâche. Tout en dégustant mon café, je vous faisais part du programme de la journée. J’organisais, le soir-même, une réception pour quelques amis. Vous aviez pour charge que tout soit parfait. Devant votre interrogation concernant la tenue à porter, je vous répliquais qu’elle serait celle que je vous avais offerte la veille. Vous protestiez, tant et si bien que ma badine vint caresser votre croupe en y laissant de longues traces d’une magnifique couleur carmin. Avant de vous laisser vaquer à vos occupations, j’installais une chaînette, la faisant passer dans les anneaux, fermant ainsi votre intimité encore vierge grâce à un petit cadenas. Cet acte acheva de vous convaincre d’obéir. Je profitais de la journée pour rédiger quelques courriers avant de m’assurer que tout était en place pour accueillir mes convives.

     

    Vous étiez partie vous préparer. Pénétrant dans la pièce, je vous trouvais assise devant une coiffeuse, brossant vos longs cheveux blonds, vêtue de votre robe. Vous prenant la brosse des mains, je terminais ce que vous aviez commencé avant d’appliquer un fard rouge vif sur la pointe de vos seins. Ils ressortaient ainsi de votre peau laiteuse, attirant immanquablement le regard. Votre pudeur exacerbée vous mettait au supplice pour mon plus grand plaisir. Je me préparais à mon tour avant d’introduire un olibos au creux de vos reins. Ce dernier étant pourvu d’une clochette à sa base, chacun de vos mouvements déclenchait une adorable mélodie. C’est ainsi parée que vous receviez l’ordre de descendre et d’introduire chacun de mes convives à leur arrivée. J’attendais cinq personnes, quatre hommes et une femme pour ce dîner libertin. Je gagnais la place du maître de maison et patientait en fumant la pipe. A chaque arrivée, je vous voyais pénétrer dans le salon les joues en feu, mortifiée par la honte qui vous submergeait. Le repas se déroula dans une ambiance détendue, chacun attendant ce qui devait suivre avec une certaine impatience. Nous vous laissions nettoyer. Je vous avais fait savoir que vous deviez nous rejoindre rapidement et que je ne tolèrerais pas de devoir attendre plus qu’il ne fallait.

     

    Vous vous teniez au centre du cercle que nous formions sur la terrasse, l’air frais du soir vous faisant frémir. A moins que cela ne soit du à votre état de femelle en attente. A ma demande, vous ôtiez votre robe, révélant votre beauté dans son plus simple appareil ainsi que votre intimité close par mes soins. J’invitais chacun de mes convives à venir vérifier que vous étiez conforme en tout point à ce que vous deviez être. Elle, la seule femme de cette assemblée, vous tourmenta longuement avant d’acquiescer d’un signe de tête. Je pouvais donc poursuivre votre éducation.

     

    D.




    Correspondance interdite (12ème lettre)

    04/07/2011 09:40



    Mon cher,

     

    Je commençais à me dire que vous ne m’importuneriez plus vu votre silence de plusieurs semaines. De nouveau entièrement tournée vers la vie que j’avais choisie, j’oubliais peu à peu les sensations exquises que vous m’aviez fait découvrir. Monseigneur en personne vint m’annoncer mon séjour en votre demeure, précisant que je devais me préparer pour une absence de plusieurs jours. Je signifiais mon refus pour m’entendre répondre que je devais m’en entretenir avec vous et vous seul. C’est la raison pour laquelle je suivis votre chauffeur quand il vint me prendre. Sur le chemin qui me menait à vous, je ne cessais de réfléchir aux paroles que j’allais prononcées. Je vous trouvais confortablement installé dans l’un des fauteuils de votre salon. M’avez-vous seulement écoutée ? Encore aujourd’hui, j’en doute. Malgré tout, je n’ai pas bougé lorsque vous vous êtes approché. Bien mal m’en a prise. Sans aucune considération pour ce que je venais de vous annoncer, vous avez déchirez mon corsage d’un simple geste. Et fait en sorte que je ne puisse rien dissimuler à votre regard en attachant mes poignets dans le dos.

     

    Mon supplice ne faisait que commencer. Les pinces et le collier n’étaient comparés à la caresse buccale imposée par cette femme. Je l’avais déjà croisée dans la maison où vous m’aviez offerte à tous ces hommes. Sa langue s’immisçait dans mon intimité. Attachée, je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher. La honte me submergeait. Je sentais ce feu me consumer littéralement. Tant et si bien que je me retrouvais rapidement dans l’impossibilité de retenir mes gémissements. Mon bas-ventre venait à la rencontre de cette langue qui me fouillait sans relâche. J’en voulais encore plus. Je voulais de nouveau connaître cet instant de plénitude. Ma frustration fut terrible lorsqu’elle cessa à votre demande. Vous libériez à cet instant votre hampe de chair de sa prison tout en me fixant… avant de la posséder sous mes yeux, vigoureusement, avant de la faire jouir à votre convenance. Abandonnée à mon sort, je vous vis revenir, une badine à la main, après l’avoir reconduite. Je ne pus retenir mes tremblements. Qu’alliez-vous encore me faire ?

     

    Vous avez longuement parlé, m’expliquant votre déception quant à mon refus de me soumettre à vos ordres. Je restais muette, sachant que rien de ce que je pouvais dire ne vous convaincrait. C’est à ce moment-là que vous m’avez expliqué la raison de mon séjour en ces lieux : vous alliez m’apprendre à être ce que l’on attendait de moi. Et pour bien me faire comprendre où se trouvait ma place dorénavant, vous avez abattu cette badine sur mon corps. D’abord sur mon ventre, doucement, puis sur l’ensemble de ma personne en allant crescendo. Je ne tardais pas à hurler de douleur. L’action des coups et des pinces conjugués sur ma poitrine me procuraient une vive sensation de douleur. Combien de temps cela a duré, je ne m’en rappelle plus. Quand vous avez cessé, ma peau était recouverte de zébrures rouges, mes seins souffraient le martyr et pourtant, mon intimité ne cessait de couler d’envie. Je suis restée attachée à ce poteau jusqu’au lendemain matin. Ce n’est qu’à cet instant que vous consentires à me libérer sans pour autant ôter les liens de mes poignets. Je chutais lourdement au sol, sans force. Vous n’en aviez cure pour me traîner à votre suite sans ménagement. Et c’est dans ma bouche que vous vous soulagiez, vous moquant bien que je ne manque de m’étouffer à plusieurs reprises.

     

    Ne pouvant échapper à vos mains inquisitrices, je restais mortifiée de devoir subir ma toilette matinale administrée par vos mains. Ce n’est qu’après que je fus autorisée à me vêtir, si on pouvait appeler cela une tenue décente. Le corsage dévoilait mes seins et l’ouverture à l’arrière de la jupe révélait l’intégralité de mes reins. Conduite aux cuisines, vous m’ordonniez de vous préparer un repas digne de ce nom pour le midi sans quoi je subirais une nouvelle fois votre courroux. Fort heureusement, ma mère avait fait de moi une excellente cuisinière. Je me hâtais donc pour vous satisfaire pensant ainsi échapper aux tourments que vous aviez pour habitude de m’infliger. Mon répit fut de courte durée. A peine le plat mis au four que vous me couchiez sur le plan de travail avant de prendre mes reins. Je sentis votre verge déchirer mon ouverture étroite sans ménagement. Malgré tout, je ne me débattais pas, restant immobile pour ne pas vous gêner dans vote ouvrage. Je ne tardais pas à gémir au fur et à mesure que mes reins s’ouvraient sous vos coups de boutoir. Tant et si bien que mon corps se mit à bouger en cadence avec le votre. J’étais votre femelle, avide de plaisir. Mais c’est une nouvelle fois dans ma bouche que vous choisissiez de vous laisser aller, m’interdisant cette jouissance que tout mon être réclamait.

     

    Votre.




    Correspondance interdite (11ème lettre)

    29/06/2011 05:04



    Ma tendre amie,

    Quel plaisir de vous mettre ainsi au supplice ! Je crois que je ne m’en lasserai jamais. Je dois avouer que vous êtes celle que j’attendais depuis de nombreuses années. Il avait été acté, en accord avec Monseigneur, que vous passeriez quelques jours hors de votre demeure. Mais pour cela, il me restait un certain nombre de travaux à achever. Il se passa près d’un mois avant que j’envoie mon chauffeur vous quérir de nouveau. Je savais, de son propre aveu, que vous ne vous étiez pas comportée de façon convenable en dépit de ma mise en garde. Je vous attendais donc avec impatience ce matin-là.

    Votre arrivée m’arracha à ma rêverie. Ordre vous avait été donné de vous dévêtir avant de vous présenter à moi. C’est pourtant drapée dans votre uniforme que je vous vis arriver. Quelle ne fut pas ma surprise ! Vos premiers mots furent pour me faire savoir que vous ne vouliez plus que je vous approche. Je vous écoutais en silence, vous observant. Votre corps me réclamait pourtant et vous le saviez. Je vous laissais vous débattre avec votre morale. Le temps jouait en ma faveur. Je finis par me lever pour vous rejoindre. D’un geste, je déchirais votre corsage, mettant votre peau d’albâtre à nu. Quel délice de vous voir essayer, dans un geste maladroit, de couvrir vos seins. Dérisoire protection que je réduisis à néant, vous entravant les mains dans le dos à l’aide d’une corde.

    Vos protestations perdirent rapidement leur intensité. Votre dos collé contre ma poitrine, vous pouviez sentir, contre vos mains, mon vit qui ne demandait qu’à vous posséder. Je vous sentais frémir d’envie. Si ce n’est que je comptais bien vous apprendre à obéir. Vous entraînant à ma suite, je vous attachais à l’une des poutres du salon, le dos contre le bois. Retournant m’asseoir, je vous faisais part de mon mécontentement. Vous tentiez bien de vous justifier mais je vous intimais le silence. La crainte de la suite se lisait dans vos yeux. Il était temps de vous préparer pour votre séjour. Votre tenue fut réduite à néant en quelques coups de ciseaux. Un collier posé à votre cou constituait votre seule parure. Je glissais une chaînette dans l’anneau se trouvant sur l’avant de ce collier. De chaque côté, deux pinces en métal la terminaient. Les pointes de vos seins furent emprisonnées dans les mâchoires d’acier, tirées vers le haut par la petite longueur de la chaînette. Je vous abandonnais ainsi, faisant fi de vos pleurs et jérémiades.

    Je ne revenais que de longues minutes plus tard, accompagné d’une jeune femme, sa jupe retroussée dévoilant sa croupe marquée de mon sceau. D’un geste, elle acheva de vous entraver convenablement en passant des cordes à vos chevilles. Vous étiez maintenant réduite à l’impuissance la plus totale, offerte et impudique, vos cuisses grandes ouvertes. Votre intimité luisait déjà de désir pour votre plus grande honte. Sa bouche se posa ensuite sur votre vulve en un baiser très doux. Puis ce fut au tour de sa langue de se mettre à l’ouvrage, écartant vos lèvres pour caresser votre bouton de rose qui n’en demandait pas autant. Vous ne résistiez pas longtemps avant vos premiers gémissements. Sans hâte, cette demoiselle vous menait à la jouissance, faisant parfois une halte qui vous arrachait des cris de frustration. Quelle ne fut pas votre incompréhension lorsqu’elle cessa, vous laissant au bord de ce plaisir que vous vous obstiniez à combattre. Je la rappelais à moi avant de la posséder sous vos yeux, lui offrant ce dont elle venait de vous priver. Mes yeux ne vous quittaient pas. Il vous fallut quelques minutes avant de me supplier de vous délivrer de votre envie. Je n’en fis rien, bien au contraire. Il était temps pour vous d’apprendre à être celle que je souhaitais. Une fois comblée, mon invitée nous laissa, retournant à ses obligations maritales. Je la raccompagnais avant de revenir, une badine à la main…

    D.



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